Le pape Grégoire IX confirme la cession faite par l'évêque de Strasbourg de l'église de Kirchheim au chapitre de Haslach.
Le pape Honorius III confirme l'augmentation des revenus pour les prébendiers du chapitre de Haslach, telle que fixée par Berthold, prévôt du chapitre, et ses successeurs.
Le pape Grégoire IX confirme qu'une partie des revenus de la prévôté de Haslach sera transférée aux prébendaires du chapitre de Haslach.
Le pape Honorius III confirme l'incorporation de l'église d'Aboncourt à l'abbaye de Neuwiller, prononcée par l'archevêque de Trèves, l'évêque de Metz et le chancelier impérial de Metz.
Le pape Innocent IV accorde quarante jours d'indulgence pour les dons au couvent de Sainte-Madeleine de Strasbourg.
L'évêque de Strasbourg Henri II de Veringen réinvestit son avoué Anselme dans ses fiefs et s'engage à désigner ses neveux Henri et Marquard de Hunisveld comme ses successeurs à l'avouerie de Strasbourg. Il règle le remboursement à Anselme et ses héritiers de la somme de 200 marcs pour laquelle il leur a engagé l'avouerie d'Ebersheim.
Hermann V de Bade-Bade et Henri Ier de Bade-Hachberg, margraves de Bade, remettent à Berthold Ier de Teck, évêque de Strasbourg, la succession de leur nièce, la comtesse Gertrude de Dabo, et en particulier les châteaux de Guirbaden, Bernstein, Eguisheim et Dabo.
Berthold Ier de Teck, évêque de Strasbourg, confère le droit de patronage de l'église Saint-Pierre-le-Vieux de Strasbourg, jusque là tenu en fief par les frères Burchard et Rodolphe de Blyde et le comte Henri de Werde, au monastère de la Sainte-Trinité de Strasbourg.
Les frères de Blide devront céder en fief au fils posthume de Henri de Werde, des biens qu'ils tiennent de l'église de Strasbourg, d'une valeur de 40 marcs d'argent.
L’évêque de Strasbourg Berthold Ier de Teck confirme et vidime l’arbitrage rendu en 1220 par son prédécesseur Henri II de Veringen dans le conflit opposant le chapitre de Saint-Thomas de Strasbourg d'une part, et Jean, curé de Saint-André, et le patron de l’église Burchard, écoutète d'Obernai, d'autre part, au sujet de la dîme de l'église Sainte-Aurélie de Strasbourg : le chapitre de Saint-Thomas percevra l’ensemble de la dîme et en remettra chaque année soixante quarts de blé au prêtre de Saint-André et à l’écoutète. [1220-1244]
L’acte énumère un certain nombre de manses sur lesquels le prêtre de Saint-André percevra directement la dîme.
Wolfhelmus, prévôt de Haguenau, règle le conflit entre l'abbaye de Hohenbourg et la commune de Rosheim au sujet de l'organisation des moissons et vendanges : l'abbesse nomme 8 gardes-bans, qui peuvent être révoqués par les habitants de Rosheim mais ne donne plus l'autorisation de moissonner ou vendanger. L'abbaye peut utiliser les bois communaux.
Berthold Ier de Teck, évêque de Strasbourg, confirme au prieuré d'Obersteigen ses possessions et privilèges, parmi lesquels le droit d'élire son prieur ainsi que les visiteurs mandatés par l'évêque.
Cunégonde, épouse d'Henri de Fleckenstein, donne à Berthold Ier de Teck, évêque de Strasbourg, ses biens en prés et champs situés à Uttwiler, que l'évêque concède en fiefs à son époux et à ses fils.